Produit de saison par excellence, la coquille de Saint-Jacques est à la fête au Café de l’Épée ! Ce mollusque bivalve enchante par sa saveur incomparable et son goût subtil. Source d’omega 3 et de minéraux, il se déguste sous toutes les formes !
Une recette inédite au Café de l’Épée
Notre chef, Alexandre, aime innover et tenter de nouvelles recettes. À l’occasion du menu de la semaine (pour rappel : un choix de 3 entrées, 3 plats et 3 desserts, tous les midis du lundi au vendredi), il a proposé la Saint-Jacques sous une forme inédite : une madeleine.
Une noix de Saint-Jacques a été insérée dans une pâte à madeleine salée, et présentée dans la coquille. Une mayonnaise au corail accompagne cette entrée, et lui apporte un goût iodé puissant.
Cette recette était malheureusement éphémère mais il est bien possible qu’elle revienne au menu ou lors d’occasions spéciales, guettez notre carte !
Deux recettes… gratinées !
Cette fois-ci, vous ne risquez pas de manquer les recettes suivantes, car elles sont proposées à la carte toute la saison !
En entrée : Noix de Saint-Jacques servies en coquille, gratinées au beurre de Kari Gosse
Un classique de la gastronomie mais dont on ne se lasse pas ! Les noix de Saint-Jacques sont ici laissées dans leur coquille et leur saveur rehaussée par un délicieux beurre de Kari Gosse, les gratinant délicatement !
En plat : Gratinée de noix de Saint-Jacques, potimarron, chapelure de noisettes
Une explosion de saveurs pour ce plat qui met en valeur plusieurs produits de saison : la Saint-Jacques et sa fraîcheur iodée, le potimarron et son petit goût sucré et le croquant des noisettes. Une recette aux accords surprenants à découvrir au Café de l’Épée !
Le Kari Gosse, un mélange d’épices typiquement breton
Ce mélange orange foncé relève les produits de la mer (dont notamment le homard). Il est composé (dans des proportions secrètes) de gingembre, de girofle, de curcuma, de piment, de cannelle et de poivre, il est surnommé le « curry breton ». Son origine est elle aussi mystérieuse mais toutes les pistes mènent à un pharmacien de Lorient, un certain M. Gosse qui, selon les versions, l’aurait lui-même inventé au XIXe siècle ou se serait vu remettre la recette par un homme que l’apothicaire aurait sauvé de la noyafe au XVIIe siècle à bord d’un navire de la Compagnie française des Indes orientales.
L’origine « pharmaceutique » du Kari Gosse explique en tout cas pourquoi on le trouve dans les pharmacies de Bretagne sud (mais aussi dans les épiceries fines) mais attention, il est produit en petites quantités et se trouve souvent en rupture de stock ! Il nous en reste au Café de l’Épée, venez donc goûter ce curry breton associé aux noix de Saint-Jacques !